Des quantités de bactéries considérées «limites» par un biologiste moléculaire couvrent des barres de maintien du métro à Montréal.
Les planchers des wagons sont nettoyés aux trois jours, mais les poteaux de maintien, seulement aux 5 à 6 semaines.
Mais ce sont les guichets qui sont arrivés en tête pour le nombre de bactéries découvertes.
En entrevue avec Paul Arcand, le professeur de biologie Sylvain Beausoleil qui a effectué des tests à différents endroits dans le métro, à la demande de la Presse, souligne que c'est le nombre de bactéries retrouvées qui peut s'avérer problématique. Un docteur souligne qu'on trouve des bactéries partout dans les endroits publics et qu'il faut appliquer les mêmes règles d'hygiène qu'il s'agisse d'une poignée de porte ou d'une barre de métro.