La Direction des poursuites criminelles et pénales (DPCP) se défend d'être la cause du climat malsain qui règnerait entre les procureurs et les enquêteurs.
Le DPCP est largement montré du doigt ces jours-ci alors que des accusations ont récemment été abandonnées contre Nathalie Normandeau et que le député Guy Ouellette a été arrêté sans être accusé de rien par la suite.
Dans une entrevue accordée à Paul Arcand, mardi matin, la procureure en chef au Bureau de la grande criminalité et des affaires spéciales du DPCP, Marlène Archer, a tenté d'expliquer la façon dont certains dossiers d'envergure ont été traités.