Le maire de Lévis nie en bloc les allégations de harcèlement psychologique qui le visent.
La liste de priorités électorales de Gilles Lehouillier est passée sous le radar jeudi alors que plusieurs ex-employés ont dénoncé le climat de travail qui régnait au cabinet du maire de Lévis.
Selon Radio-Canada, trois plaintes de harcèlement psychologiques ont été déposées à la CNESST le mois dernier.
Les plaignants dénoncent un climat "malsain" et "inacceptable", où les cris et la violence verbale étaient monnaie courante.
Des allégations non fondées selon Gilles Lehouillier.
C'est un coup monté alimenté par un sentiment de vengeance.
Une ex-employée affirme également avoir été forcée d'accompagner Gilles Lehouillier lors de sorties en-dehors des heures de travail,
Au Journal de Québec, l'ex-attaché de presse du maire Lehouillier et candidat libéral dans Taschereau Florent Tanlet a confirmé la teneur des allégations. 10 autres employés se sont confiés au Journal.