Douze ans après sa création, le Registre québécois du cancer manque de données précises et récentes.
En fait, il n’est toujours pas pleinement fonctionnel, puisque les données partielles publiées à ce jour datent de 2017.
« Ces données sont importantes, car elles permettent de réajuster nos efforts. Quand je rencontre des patients, je me base sur des données. Même chose quand je veux analyser des résultats. C’est aussi le cas en gestion. En fait, c’est la base de tout. »
« Pendant la COVID-19, j’ai constaté que le Québec est capable d’amasser des données. Ça prend juste de la volonté du politique et du réseau de la santé. Il faut mettre les moyens. On doit en faire une priorité. »
Notons que le cancer est la première cause de mortalité au Québec.