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Cotes d'écoute encore fortes

La télé traditionnelle québécoise rivalise avec les Netflix de ce monde

La télé traditionnelle québécoise rivalise avec les Netflix de ce monde
Image / Photo AP / PC

À son micro lundi matin, Paul Houde demandait à Richard Therrien du quotidien Le Soleil, si la comptabilisation des cotes d'écoute avaient changé depuis l'apparition, entre autres, des nombreuses plateformes numériques.

« Malgré tout cela, ça n'a pas vraiment changé la façon de compter les cotes d'écoute; c'est pas mal pareil que dans les années 80 dans le fond», admettait le journaliste qui décomptait les grands succès 2020-21. 

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« Ce n'est pas vrai que les gens ne regardent plus la télé traditionnelle et qu'ils ne regardent que Netflix (...) Dans le cas de District 31, ils sont tout le temps 400 000 téléspectateurs de plus que la deuxième émission à la même heure, c'est fou (...) Les Beaux Malaises 2.0, c'est moins fort que cela ne l'a déjà été, mais c'est quand même dans les émissions les plus regardées; c'est plus regardé que Star Académie. »
Richard Therrien, journaliste au quotidien Le Soleil

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