« Je ne suis pas un ange, mais pas un démon non plus, et certainement pas le prédateur sexuel qui sévit depuis une décennie comme Le Devoir me décrit. »
Dénoncé par neuf femmes pour des présumées inconduites sexuelles, l'humoriste Julien Lacoix a choisi la voie des médias sociaux pour se défendre.
«On est quand même loin du plaidoyer de culpabilité qu'on a vu pour certains artistes», commentait la chroniqueuse culturelle au 98.5, Jessika Brazeau, lundi matin au 98.5.
« Le Devoir a essayé de parler avec l'humoriste, mais il refusait parce qu'il voulait savoir qui avait dit quoi, de quoi on parlait exactement (...) Sur sa page Facebook, il n'avoue rien du tout. Il se dit désolé si il a blessé quelqu'un parce qu'il dit que cela n'a jamais été son intention. »
Très populaire sur les différentes plateformes, particulièrement pour un jeune public, l'humoriste a réagi à l'article du Devoir à l'aide d'un long plaidoyer sur sa page Facebook.
Julien Lacroix dit se retirer pour le moment afin de de «réfléchir aux recours qui s’offrent à lui dans ce contexte».