La première édition de «La nuit de la déprime» était au menu culturel montréalais lundi soir, 20 janvier, journée de l'année identifiée comme étant la plus déprimante de l'année.
Animée par Christian Bégin, la soirée part d'un concept parisien qui existe depuis huit ans.
Comme l'indique la chroniqueuse culturelle du 98.5, Catherine Brisson, une vingtaine d’artistes avaient envie de faire sortir le méchant au Théâtre St-Denis...
«On comprend que c’est un spectacle qui n'a pas été beaucoup répété, ça paraissait pour quelques numéros, certains étaient parfois brouillons, d’autres beaucoup trop longs, la soirée a duré plus de 3 heures. Mais, au final, on est tous sortis avec le sourire! Et ça fait changement des oeuvres drastiques où on se regarde le nombril! J’espère qu’une tradition est née avec La nuit de la déprime et je vois aussi très bien une captation pour la télé. On n'a pas assez d’émissions de variétés. Ça ferait du bien au moral de pas mal de monde.»