Pierre-Yves McSween a consacré sa chronique économique à la réforme du droit de la famille.
La refonte du système continue de créer des vagues et notre collaborateur s'est penché, mardi matin, sur le cas d’une auditrice faisant ressortir les incohérences entre le droit de la famille et la fiscalité.
«Ce qui est bon pour pitou n'est pas bon pour minou. Le gouvernement a une logique fiscale et de droit familial à géométrie variable. C'est le cri du coeur d'Alexandra à qui le gouvernement dit: va pas vivre avec ton chum, reste toute seule dans un appartement, que lui reste seul en appartement et tu vas être plus riche monoparentale dans un appartement qu'à deux avec plein d'enfants dans la même maison. C'est ça que le droit familial dit au Québec.»