Les jeunes femmes aiment davantage la pornographie romantique que toute autre forme de porno, révèle une étude menée auprès de Québécois de 16 à 29 ans.
Écoutez la sexologue et psychothérapeute Sylvie Lavallée au micro de Luc Ferrandez sur la consommation de pornographie.
«Il y a sur des plateformes Netflix pour ne pas la nommer, des films et des séries érotiques qu'on appelle du mommy porn. C'est qu'il y a un contexte, il y a un scénario et il y a des gens où on sent et on voit qu'il y a une tension érotique. Et ça c'est très rare de voir ça. Dans ma clientèle, les gens en redemandent. Ça manque. Le contexte qui est nommé dans l'étude, on parle de de passion, de romance, de souper, de massage. C'est hautement voulu et espéré chez les gens, qui veulent voir tout ce qui se passe avant qu'ils s'embrassent.»