Au début du mois, la Société de transport de Montréal, (STM) confirmait la suppression de 230 postes tout en jurant que cela n’allait pas affecter le service pour les usagers.
Vendredi, la dérectrice générale et le président du conseil d’administration cosignaient une lettre ouverte affirmant que l’on devait revoir le financement du transport collectif si l’on souhaitait atteindre nos objectifs pour l’environnement.
Écoutez le président du conseil d’administration de la STM, Éric Alan Caldwell, aborder avec l'animateur Louis Lacroix la question de l'imputabilité de la société de transport et l'effet que les coupures peut avoir sur les services.
Il explique que son objectif quotidien est d'offrir le meilleur rendement sur investissement pour tant les utilisateurs que pour les gouvernements.
Voulant que ces coupures affectent le moins possible les services aux usagers, monsieur Caldwell explique que la STM devra repousser certains investissements ou diminuer l'entretien de certains équipements dont les voitures de métro pour arriver à leur objectif.
Il explique que l'on a besoin d'offrir davantage de financement pour les transports collectifs afin que davantage de gens empruntent les transports en commun.
Il ne se cache pas pour dire qu'il lance un cri du coeur à l'ensemble de la société pour l'avenir de nos transports collectifs.