Comme l'indiquait Pierre-Yves McSween dans sa chronique, jeudi matin, l'entreprise Dollarama constitue un véritable phénomène commercial.
Avec entre autres la popularité des allées d’épiceries chez Dollarama, les ventes ont augmenté d'à peu près 20% dans un contexte économique difficile.
«Pour ce qui est de la valeur boursière, Dollarama vaut trois plus cher que Sobeys-IGA», lance d'ailleurs l'expert Sylvain Charlebois, au micro de Paul Arcand, jeudi matin.
«De tous les produits qui sont chez Dollarama, il y en a à peu près entre 17 et 20% qui se mangent et là j'inclus les friandises et barres de chocolat. Il n'y a pas de périssables, il n'y a pas de viande, il n'y a pas de fruits et légumes. Dollarama n'offre qu'une partie de ce qu'on a besoin.»
Les magasins Dollarama monte en popularité avec le phénomène de l'inflation.
Sylvain Charlebois explique qu'une sélection de produits permet au magasin de vendre à plus bas prix.