L’auteur québécois de bande dessinée Michel Rabagliati a choisi la formule du roman illustré pour la première fois, question de sortir du confort de son personnage habituel, le fameux Paul.
Encore une fois, Rabagliati raconte son quotidien dans celui de son personnage, Paul, dans une autre création artistique québécois sortie de la pandémie, qui est intitulée «Rose à l’île».
Rose est le prénom de sa fille.
Écoutez la chroniqueuse Catherine Brisson qui parle d'un «livre apaisant», en décrivant la nouvelle oeuvre du bédéiste québécois, au micro de Paul Arcand, lundi matin. Elle a discuté avec ce dernier.
«Je vis seul déjà et je suis dans un atelier toute la journée et je ne savais plus quoi faire. J'avais aussi envie de parler à ma fille. Ce rapport-là que j'ai établi entre moi et le papier, de dessiner ma fille, ce fut un plaisir. Cela m'a rapproché d'elle.»
Déjà un succès en librairie, l’auteur n'exclut pas une suite pour sa nouvelle aventure en roman illustré.