Après plus de quinze années de discussion, les États membres de l’ONU sont tombés d’accord et 190 pays ont signé un traité international historique de protection de la haute mer.
«On parle, par exemple, d'espèces marines dont d'ailleurs 10% sont en voie de disparition comme les requins, les baleines, le plancton, les coraux», disait Jean-François Lépine.
«Les hautes mers, c'est l'équivalent des deux tiers des océans qui jusqu'à maintenant faisait l'objet d'aucune entente de contrôle international. Il y a des lois sur la navigation, sur l'exploration minière et pétrolière, mais aucune coordination internationale pour protéger des réserves immenses».
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