Le gouvernement du Québec souhaite limiter la présence d'enfants sur le marché du travail et le ministre Jean Boulet déposera un projet de loi en ce sens dès février.
Le regroupement de syndicats et d'associations patronales, lui, recommande d'établir à 14 ans l'âge général d'admission à l'emploi.
Le chroniqueur Pierre-Yves McSween revient sur l’encadrement du travail des enfants qu'il trouve noble, tout en mettant en lumière quelques angles morts.
« L’enfance a une valeur et on en a qu'une », lançait d'emblée l'expert au micro de Paul Arcand, mardi matin.
« Je pense qu’il y a un partenariat quelque part. À 15 ou 16 ans, on veut embaucher des jeunes, une nouvelle main-d'oeuvre qui va nous aider , mais comprendre qu'on a une grande responsabilité comme employeur d'empêcher ce jeune de faire des choix très court terme contre une pénalité à vie après. »
« « Je pense qu’il y a un partenariat quelque part. À 15 ou 16 ans, on veut embaucher des jeunes, une nouvelle main-d'oeuvre qui va nous aider , mais comprendre qu'on a une grande responsabilité comme employeur d'empêcher ce jeune de faire des choix très court terme contre une pénalité à vie après. »