Un seul sujet, mardi matin, dans la chronique de Pierre-Yves McSween: les résultats de la chaire de recherche en fiscalité sur l'importance de taxer les boissons sucrées, arrimée avec des investissements en prévention.
«ll faut que le consommateur arrive devant le produit et se dise: Wow! Ça coûte donc ben cher, Wow! C'est taxé!», lançait le chroniqueur économique au micro de Louis Lacroix.
«Il faut que cela paraisse dans le prix, il ne faut pas que ce soit une cenne par bouteille. Et deux, il faut que ce soit inscrit directement [...] Quel combat quotidien! On doit se battre contre une industrie alimentaire qui travaille très fort contre nous.»