Pierre-Yves McSween abordait, mardi matin au micro de Paul Arcand, les interrogations des auditeurs pris au dépourvu et mêlés entourant les produits financiers sur le marché en cette période trouble économiquement.
Le chroniqueur décrivait «quelque chose qui est fiscalement bizarre»: des professionnels qui mettent fin à des projets de maisons à but lucratif déguisées en résidences principales.
En deuxième portion de chronique, il était question du CELIAPP qui, s'il n’existe pas encore, fait déjà réfléchir dans le dernier droit de 2022.
« Le CELIAPP s’en vient en 2023. On l’attend. On l’anticipe. C’est excitant. Mais voilà que les conseillers en placements, comptables et fiscalistes commencent déjà à dire à leur client: ceci est l’occasion d’une vie. »