Gregory Charles a livré un vibrant cri du cœur dans La Presse en faveur d'une nouvelle réforme du système d'éducation québécois.
L'animateur et chanteur propose plusieurs idées pour rendre le système plus performant, vivant et attractif pour les enfants.
Il a notamment expliqué à notre antenne le fait d'intégrer les camps de jour aux écoles, de commencer les cours au mois d'août, de permettre aux élèves doués de dépasser la note de cent pourcent et de fermer les établissements scolaires en janvier.
Disant qu'il est hors de question qu'il s'associe à une formation politique pour défendre ses idées, il en a toutefois énuméré plusieurs au micro de Paul Arcand, lundi matin.
« J'ai travaillé en musique, j'ai travaillé en histoire, j'ai travaillé en plein de choses avec des garçons et des filles et je trouve qu'on perd au change quand on les mêlent. Les garçons, par exemple, il faut leur répéter 200 fois des affaires quand on veut qu'ils améliorent une chose. Les filles ? Non. C'est général ce que je dis: elles prennent des notes, corrigent rapidement Quand on les a les deux ensemble, les filles ça les écoeurent de se faire dire la même patente. »