Le geste de la vice-première ministre Geneviève Guilbault, qui a récemment brandi le livre «PLQ inc.» à la période des questions, a visiblement indisposé Jean Charest.
Alors qu’elle débattait de la gestion de l’UPAC, pendant la période des questions du 21 octobre dernier à l’Assemblée nationale, la vice-première ministre, Geneviève Guilbault, a sorti le livre «PLQ inc.» pour illustrer la responsabilité des libéraux dans ce dossier.
Or, sur la couverture du bouquin, on retrouve la photo de Jean Charest.
Le lendemain de l’incident, l’ancien premier ministre du Québec a accusé le gouvernement Legault de cautionner des «actes criminels» puisque ce livre, selon lui, est le résultat de plusieurs fuites d’enquêtes menées par l’UPAC.
Poursuite judiciaire plus importante
Selon Radio-Canada, Jean Charest réclamerait désormais deux millions de dollars en dommages punitifs au gouvernement Legault - le double de la demande initiale – puisqu’il affirme que le geste de la vice-première ministre a augmenté les préjudices à son endroit.