Paul Arcand revient sur la présentation de la réforme de la loi 101, le projet de loi 96, avec le ministre responsable de la Langue française, Simon Jolin-Barrette.
D’ici quelques jours le gouvernement devrait présenter son plan de déconfinement. On en discute avec le Dr Horacio Arruda, ainsi que des changements concernant le vaccin AstraZeneca.
Et on termine en humour avec Paul Houde et son cours 101 de camping et caravaning.
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand commente les déclarations du président des États-Unis, Donald Trump, qui ne lâche pas le morceau concernant les tarifs douaniers qu'il entend imposer sur les exportations canadiennes et mexicaines à partir du 1er février.
«Sur la question des tarifs, M. Trump a un mantra. Il l'a répété encore une fois mardi. Le Canada et le Mexique sont de mauvais voisins qui permettent à des illégaux, des patients psychiatriques, des trafiquants de drogue et des criminels d'entrer sur le territoire américain.
«Et en parlant de drogue, il a dit que c'est un genre de bar ouvert à la frontière. [...] C'est son argument pour vouloir imposer des tarifs de 25%.»
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Le républicain Donald Trump a été assermenté lundi à titre de 47e président des États-Unis.
Dans son discours inaugural, le président a déclaré qu'il allait accomplir des changements importants et rapides. Il a promis de rétablir la loi et l'ordre.
Faisant référence à la tentative d'assassinat dont il a été victime en Pennsylvanie, le milliardaire a affirmé que Dieu l'avait sauvé pour rendre sa grandeur à l'Amérique.
«La place qu'occupe la religion dans ce type d'événement. Je comprends le God Bless America, mais quand on entend ça du Québec, avec l'importance de la laïcité, on se dit: "Comment se fait-il que cette société soit encore portée par ce discours empreint d'idéologie religieuse?"»
Le président Trump a également réitéré son intention d'imposer des tarifs aux importations venant de pays étrangers, dont le Canada.
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À l'occasion de sa revue de presse lundi matin, Paul Arcand aborde l'assermentation de Donald Trump, alors que le président élu promet un premier 48 heures sans précédent de décrets présidentiels.
Il revient ainsi sur le discours-fleuve que Trump a offert dimanche au Capital One Arena, l'amphithéâtre des Capitals de Washington. Ce dernier a donné un avant-goût de ses premiers décrets notamment en immigration.
Il veut aussi renverser des politiques du président sortant. Joe Biden, tout en facilitant la possibilité de sabrer dans les fonctionnaires de l'État.
«Il promet un pardon présidentiel pour la très très grande majorité des gens condamnés après l'attaque du 6 janvier contre le Capitol», indique Paul Arcand.
L'animateur revient aussi sur la question des tarifs douaniers: le président garde un certain suspense sur la portée de ceux-ci, de même que sur la réponse robuste du Canada qui viendra dès mardi.
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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi matin, Paul Arcand aborde l’accord de cessez-le-feu demeure fragile dans la bande de Gaza, alors que le cabinet de sécurité israélien devait entériner l'entente en cours de matinée, et ce, malgré des frappes importantes dans les dernières heures sur le territoire.
«Ça m'amène à prendre un pas de recul et vous rappeler ces données qui sont pour moi essentielles. C'est une guerre qui dure depuis 466 jours. 45 000 personnes ont été tuées à Gaza; des civils, des combattants, des femmes et des enfants. Tout ça a commencé par l'attaque du Hamas en territoire israélien, par des meurtres et des prises d'otages. [...] On sent la fragilité d'un cessez-le-feu qui pourrait disparaître du jour au lendemain.»
Il rappelle les propos de Joe Biden qui a appellé les Israéliens à comprendre que les Palestiniens auront besoin d'un endroit pour vivre dans le futur et qu'ils devront être considérés dans le processus.
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