Après avoir dénoncé son ex-conjoint, violent et menaçant, Élizabeth (nom fictif) pensait enfin pouvoir vivre en sécurité...
Mais voilà que le bracelet anti-rapprochement, qui devait lui être imposé parce qu'il n'avait pas respecté les conditions de la cour, ne le sera finalement pas en raison du travail de ce dernier.
C'est ce que rapporte La Presse, mercredi, sous la plume de Mayssa Ferah.
Écoutez la mère de famille témoigner, au micro de Paul Arcand, du grand sentiment d'insécurité qui l'habite au quotidien.
«Il y a des jours, je ne sais plus trop quoi penser. Je me dis: "Il ne ferait jamais ça..." Je suis nerveuse si les enfants entrent rapidement et ferment la porte. C'est spécial comme sentiment...»
«Je me sens comme si c'est moi qui dois assurer ma propre sécurité...»