Dans sa revue de presse commentée, l'animateur Luc Ferrandez souligne le climat «toxique» instauré par la déléguée du Québec à Houston, Xin Gao, depuis son arrivée en poste en 2021.
«Elle n'est pas la seule, vous vous rappelez évidemment... On se rappelle tous des critiques qui avaient été portées, formulées contre Julie Payette, contre Fatima Houda-Pepin, qui était à Paris. On se rappelle de Nathalie Bondil, au Musée des beaux-arts. Pourquoi? Pourquoi est-ce que c'est si souvent des femmes?»
«Ma première hypothèse, parce que ça fait longtemps que la révolution de la gestion est commencée. Ça fait 30 ans. L’empowerment, la transparence, le respect, la considération, accepter l’influence des employés, communiquer et résoudre des conflits. Et que dans cette révolution-là, les femmes ont été très bonnes, excellentes même. Et donc, on est plus surpris quand c’est une femme. Donc, ça fait l’objet d’excitation, ça fait l’objet de couverture médiatique parce que tu te dis... Ah, elle c’est une chipie, elle, c’est une pas bonne, mais dans les faits, il y a énormément de femmes qui ont été d’excellentes gestionnaires et qui sont d’excellents gestionnaires. Et c'est peut-être ça. C'est peut-être le contraste qui attire notre attention et qui fait que ça devient la couverture des médias.»
Écoutez Luc Ferrandez poursuivre ses hypothèses...