À l’occasion de sa chronique politique à l’émission Puisqu’il faut se lever, mercredi, Jonathan Trudeau traite notamment du travail de Michael Sabia au sein d'Hydro-Québec.
Ça fait près de sept mois qu’il est à la tête de la société d’État. Comment se passe le début de son mandat à titre de président-directeur général?
«Si on regarde le bilan de ses réalisations, on constate que l’ère Sabia se fait déjà sentir, affirme le chroniqueur. On peut penser au plan 2035, qui est assez clair et ambitieux. La semaine dernière, il y a eu aussi l’entente-cadre avec la communauté de Pessamit. Tout n’est pas réglé, mais c’est un premier pas pour le gouvernement. Le PDG d’Hydro-Québec aurait eu un impact très significatif dans la négociation...»
«Personne ne doute des compétences et de l’intelligence de Michael Sabia. Mais, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs! Le climat semble assez tendu à l’interne depuis son arrivée au poste de PDG. Quelques employés ont quitté Hydro-Québec, dont Julie Bouché, qui était vice-présidente – Développement durable, relations avec les communautés et communications. Le changement de culture serait assez important au sein de la société…»
Autre sujet abordé
- Jonathan Trudeau parle de la sortie des quatre ministres du gouvernement Legault qui ont interpellé une fois de plus Ottawa au sujet des demandeurs d'asile. Une grande proportion d’entre eux s’établissent au Québec. Lors d’une conférence de presse tenue mardi au parlement, les ministres ont réclamé, une fois de plus, des mesures concrètes au gouvernement Trudeau pour mieux gérer l’arrivée des migrants au Québec.
