Ça chauffe entre la mairesse et le gouvernement Legault. Valérie Plante tente aujourd'hui de calmer le jeu à la suite de la guerre de mots qui l'oppose au gouvernement Legault, en lien avec la défense du français et les droits de scolarité des universités.
Écoutez Philippe Bonneville, journaliste de Cogeco Nouvelles, avec l'animateur Luc Ferrandez.
«Valérie Plante ne veut pas en rajouter, finalement, dans son bras de fer avec la CAQ. On se rappelle que la mairesse voit la hausse des frais de scolarité imposée par Québec pour les universités anglophones, comme une attaque directe, a-t-elle dit, contre Montréal. De leur côté, il y a François Legault et certains ministres, dont Jean-François Roberge, qui disent, eux, que Valérie Plante, ne défend pas suffisamment le français. Ils la critiquent ouvertement. Même que le premier ministre François Legault a dit hier que c'était triste de voir l'attitude de Valérie Plante dans ce dossier-là. Aujourd'hui, la principale intéressée, Valérie Plante, n'a pas voulu vraiment en rajouter, dit même que c'est normal qu'il y ait parfois des différends ou des moments où on ne s'entend pas nécessairement avec le gouvernement du Québec.»