Des photos pornographiques truquées de la chanteuse Taylor Swift, créées par l’intelligence artificielle, ont fait le tour du web, cette semaine.
Il s'agit d'une situation qui rappelle le potentiel diffamatoire des nouvelles technologies. Patrick Lagacé aborde le sujet vendredi, en compagnie de Jean-Philippe Baril-Guérard, auteur et adepte de technologies.
Il souligne d'entrée de jeu que cet évènement, malgré qu'il soit malheureux pour la chanteuse, pourrait avoir des répercussions positives.
«Le fait que ça lui arrive, ça attire l'attention sur le problème. Ça pourrait peut-être éventuellement forcer des législateurs à agir et à éviter des situations très graves qui arrivent à d'autres gens. Parce que là, oui, ça reste une violation de la vie privée. Mais cet automne, il y a eu des histoires assez horribles où il y avait des écolières en Espagne qui s'étaient fait envoyer des deep fakes d'elles, nues. Et on parle de filles mineures. Il y en avait jusqu'à l'âge de onze ans», estime Jean-Philippe Baril-Guérard.
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