Les mises en échec, les tirs bloqués et les rondelles soutirées à l’adversaire représentent un bon indicateur de l’implication d’un joueur au sein d’une équipe estime Dany Dubé.
Il s’est donc penché sur ce modèle en scrutant le premier trio des Canadiens formé depuis le début novembre de Nick Suzuki, de Cole Caufield et de Juraj Slafkovsky.
Et, chiffres à l’appui, ce que l’on peut désormais désigner comme étant «l’effet Slafkovsky» est quantifiable.
On écoute Dany…