Couples sous pression: quoi faire pour rester zen durant le temps des Fêtes?
Écoutez Sylvie Lavallée, sexologue et psychothérapeute au micro de Nathalie Normandeau, alors qu’elle aborde Noël qui peut être stressant.
Selon elle, le mois de décembre est un mois hautement émotif.
«C'est un mois très très très chargé en clinique. Le bureau va fermer pour la plupart, on se donne des périodes de répit et de repos pendant la période des fêtes, mais ça crée un effet d'entonnoir. [...] Tout est en pause dans plusieurs domaines, donc ça crée un moment où on ne peut pas nécessairement s'éviter, comme une mini-pandémie de temps de confinement. On ne peut pas nécessairement aller faire nos sports, nos amis sont occupés ou sont à l'extérieur. On risque de voir des gens de la famille élargie ou de la belle-famille qu'on n'a pas nécessairement envie de côtoyer durant l'année. Tu sais, les gens qu'on voit peu, il y a une raison, qu'on les voit peu.»
«Il y en a qui ont vécu une rupture cette année. Il y en a que ça va être un premier Noël en garde partagée, il y en a que ce n'est même pas réglé encore de qui va avoir les enfants à Noël ou au jour de l'an? Il y en a qui ont vécu une perte importante, un deuil. Alors un premier Noël avec un membre de la famille qui va manquer. L'inflation, le stress, les grèves, oui, ça change l'état d'esprit. »
