Dure, dure semaine pour le Parti libéral du Québec qui a vu trois de ses potentiels prétendants à la chefferie du parti se désister, incluant l'actuel chef intérimaire, Marc Tanguay.
Au micro de Luc Ferrandez, l'analyste politique Philippe Léger tente de cerner les raisons pour lesquelles personne - jusqu'à preuve du contraire - ne souhaite s'installer dans le siège du conducteur du parti.
«Personne, à court terme ou à moyen terme, ne pense que ce parti peut être réformé et peut être reporté au pouvoir d'ici 2026. Ça m'apparait une évidence.
«Mais au-delà d'un futur ou d'une future chef, le vrai problème du PLQ c'est l'espace politique qu'il peut véritablement occuper. Comment faire en sorte de se différencier des autres partis d'opposition?»
On écoute Philippe Léger...