Finalement, il semblerait que la catastrophe appréhendée de la pénurie d'enseignants n'aura pas lieu.
Qu'est-ce qui s'est produit pour éviter le scénario du pire?
L'animateur Philippe Cantin a posé la question à Isabelle Gélinas, directrice générale du Centre de services scolaire de Montréal.
«Ce scénario, je pense qu'il n'a jamais été présent à ce point», explique Isabelle Gélinas.
«La différence que l'on peut voir dans la gestion des données, c'est que l'on n'a pas comparé des lectures similaires d'une année à l'autre. L'an passé, on a fait une lecture à la date X, et cette année, on n'a pas fait la lecture au même moment. Ce qui fait qu'il y a eu un petit décalage dans la gestion des données.»
Cette dernière précise que seulement une centaine d'enseignants - sur environ 2900 - qui n'étaient pas «légalement qualifiés» au primaire lundi, mais que ces derniers avaient tous, au minimum, un baccalauréat.
On l'écoute...
En complément, Monsieur Luc Papineau, enseignant de français au secondaire.