À l'occasion de la commission Normandeau-Ferrandez lundi matin, Paul Arcand aborde la décision de Québec de se doter d'un ombudsman en Éducation, une première en la matière. Est-ce qu'il fera une différence dans la façon dont le réseau est géré?
Pour Nathalie Normandeau, il s'agit d'une décision avisée, car les centres de services scolaires, compte tenu de la culture qui existe dans ces organisations, ne sont malheureusement pas toujours rapides sur la gâchette pour répondre aux plaintes.
«C'est aussi un processus de plainte qui est en place, qui va permettre à tout le personnel scolaire également de se faire entendre à travers ce processus formalisé.»
Pour Luc Ferrandez, cette mesure engendrera davantage d'imputabilité dans le système d'éducation de la province.
«Ils ne sont pas à la solde du service des centres de services, Donc ils peuvent vraiment les critiquer autant qu'ils veulent.»
On les écoute...