Dans sa chronique, Frédéric Labelle indique qu'en raison des avancées rapides de l'intelligence artificielle, il y a une hausse marquée du contenu vidéo non sollicité par ce qu'on appelle le «deepfake».
«On constate du faux porno, en plus d'une hausse des cas de sextorsion générés par le deepfake.»
Écoutez le chroniqueur à l'émission de Paul Arcand, mardi matin, qui s'est entretenu avec l'expert en cybersécurité Steve Waterhouse.
«C'est facile de procéder à une intégration d'images, à une modification. On peut faire une vidéo qui peut servir à bien des fins. Autant ça peut être cocasse pour faire une joke à quelqu'un, autant ça peut être utilisé dans des cas de fraude ou d'extorsion.»