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Commission Normandeau-Ferrandez

Faire payer un briseur de grève: «C’est de l’intimidation» -Nathalie Normandeau

Faire payer un briseur de grève: «C’est de l’intimidation» -Nathalie Normandeau
La commission Normandeau-Ferrandez / Cogeco Média

L’Alliance de la fonction publique du Canada veut faire payer les membres qui ont franchi les lignes de piquetage durant la grève. Est-ce que c’est une façon d’intimider les membres?

Des syndicats qui représentent des employés du gouvernement fédéral tentent d’identifier des briseurs de grève qui ont été actifs durant le conflit de travail. 

Ils ont franchi les lignes de piquetage même s’ils ne faisaient pas partie des services essentiels prévus, selon Marc Brière, président national du Syndicat des employés de l'Impôt. 

Écoutez les chroniqueurs de la Commission Normandeau-Ferrandez, à l’émission Puisqu’il faut se lever.

«C’est de l’intimidation. C’est complètement surréaliste. Je pensais que les gros bras avaient déserté les syndicats… Non, c’est encore le cas.» 

«Ce qui va arriver, c’est que les personnes qui vont subir le traitement [réservé par le Syndicat des employés de l'Impôt] vont se mettre en congé de maladie pendant six mois. Elles ne travailleront pas et seront payées. C’est ce que le syndicat obtiendra, donc ne le faites pas.»

Notons que la grève des employés de la fonction publique canadienne est terminée depuis le début du mois, puisqu’une entente est survenue entre les syndicats et le gouvernement Trudeau.

Quant à l'Agence du revenu du Canada, elle a conclu une entente de principe le 4 mai avec le Syndicat des employés de l'Impôt, qui représente environ 35 000 membres.

Plus avec Nathalie Normandeau

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