Un auditeur de l’émission a récemment eu à en découdre avec une pharmacie après avoir y avoir pris un rendez-vous pour un prélèvement sanguin et s’être fait dire que tout serait analysé au privé plutôt qu’au public, moyennant une facture plus salée.
Zacharia Ouardirhi, un auditeur de l’émission témoigne de ce qu'il trouve bizarre dans cette façon de procéder.
Les pharmaciens se doivent-ils d’offrir l’option moins coûteuse d’analyser ces prélèvements au public?
Benoît Morin, président de l’Association québécoise des pharmaciens propriétaires, montre son éclairage dans ce dossier, également au dossier de Paul Arcand.
Écoutez les entrevues.