Contrairement à ce qu’on pourrait penser, les Canadiens ne mangent pas bien mieux que les Américains, en général.
C'est ce que permet de constater une nouvelle étude pilotée par un chercheur de l'Université Laval, Michel Lucas.
«On a étudié la qualité alimentaire. L’échelle utilisée mesure les niveaux d’adhérence aux guides alimentaires, canadien et américain.»
L'échelle comprend six composantes positives, comme la consommation de fruits et légumes, et quatre négatives, dont la consommation de viande et de charcuterie.
Selon M. Lucas, les Canadiens doivent d'ailleurs mettre beaucoup plus de légumes, de fruits, de noix et de légumineuses dans leur assiette.