Un chercheur recommande de créer système de services pour les jeunes de la DPJ âgés de plus de 25 ans.
Martin Goyette, professeur titulaire à l'École nationale d'administration publique (ENAP), soutient que les jeunes doivent bénéficier d'un suivi au-delà de l'adolescence.
Il présentera d'ailleurs cette recommandation, jeudi, devant la commission Laurent sur les droits des enfants et la DPJ.
Le chercheur était entrevue jeudi matin avec Louis Lacroix.
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L’importance de se doter d’un système de services pour les jeunes de la DPJ, une fois à l’âge âdulte : Martin Goyette, professeur à l’École nationale d’administration publique
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«Il y a une forme de brisure des services à 18 ans. C'est clair qu'il faut aller bien au-delà de ça. Le 25 ans est une cible extrêmement importante... D'autre part, ça permet aux jeunes de créer des liens avec l'ensemble des services de la communauté, des services aux adultes.»