Je ne veux pas revenir sur le cas spécifique du courtier Mathieu Arsenault : un courtier visé par l’organisme d’autoréglementation (OACIQ) pour sa façon de faire sa promotion. Je trouve personnellement que les médias commencent en général à détruire des vies pour des tapes sur les doigts déontologiques. Est-ce que ça mérite une telle couverture?
Mon sujet tourne plus autour de la stratégie: est-ce qu’il faut nécessairement être flamboyant sur les réseaux sociaux pour bâtir une clientèle professionnelle? Quelle stratégie adopter?