En Normandie, en France, le Service d'aide médicale urgente (SAMU) a organisé la semaine dernière un exercice de grande ampleur afin de préparer des soignants à prendre en charge un nombre élevé de grands brûlés.
En fait, c'était une forme de test abordé comme un entraînement pour une éventuelle catastrophe qui provoquerait beaucoup de blessés.
À quelques semaines des Jeux olympiques de Paris, la France semble vouloir se préparer aux effets possibles d’un attentat terroriste.
C'est ce qu'on apprend dans un article du média Ouest-France.
À l'émission de Luc Ferrandez, lundi, écoutez le Dr Thomas Delomas, patron du SAMU 50, qui était présent pour l'exercice.
«Ça demande beaucoup d'expertise, beaucoup d'entraînement et une collaboration entre les services publics et privés. C'est ce qu'on a réussi à mettre en œuvre à l'occasion de l'exercice redoutable qui s'est déroulé à Cherbourg, le 22 mai.»
Le service d'aide médicale urgente est l'équivalent du service québécois Urgences-santé.