La finale de l'Eurovision à Malmö, en Suède, est marquée par une controverse liée à la qualification d'Israël et des manifestations pro-Palestine.
L'Union européenne de radiotélévision ne sanctionne pas Israël comme elle l'avait fait avec la Russie en 2022, car les situations ne sont pas comparables.
Écoutez Fabien Randanne, journaliste de 20 minutes et spécialiste de l’Eurovision, à l'émission de Paul Arcand, vendredi.
«L'Union européenne de radiotélévision qui organise le concours dit que ce n'est pas tout à fait la même chose puisqu'elle ne sanctionne pas les gouvernements. Elle sanctionne les diffuseurs publics qui sont membres de cette association. La télévision russe à l'époque parlait notamment de l'attaque de la Russie sur l'Ukraine, pour défendre l'Ukraine du nazisme. Donc, il y avait des divulgations d'informations erronées, de la désinformation. Ainsi, c'était une infraction au règlement de l'UE.»
Depuis quelque temps, il y a une intensification des manifestations et du mécontentement.
Une absence remarquée lors des répétitions est celle du chanteur néerlandais, prévu pour chanter avant Israël.