Aller au contenu

Intimidation: sentez-vous que les écoles veulent vraiment régler le problème?

Intimidation: sentez-vous que les écoles veulent vraiment régler le problème?
Nathalie Normandeau / Cogeco Média

Au Québec, 27% des jeunes de 12 à 17 ans subissent de l'intimidation ou de la cyberintimidation en milieu scolaire.

Avez-vous l’impression que les écoles veulent vraiment régler le problème? Nathalie Normandeau pose la question à ses auditeurs ce jeudi.

Vanessa, belle-mère d’Emma Rose, 7 ans, intimidée par une camarade de classe et Maude Goyer, collaboratrice au 98,5, qui s'est penchée sur le phénomène de l'intimidation, accompagnent la discussion.

«Je me suis intéressée au cas de l'intimidation parce qu'on a appris récemment qu'il y avait 10 % des élèves qui manquaient l'école jour après jour. Je me suis demandé comment ça se fait que les enfants ne soient pas dans les écoles. J'ai posé la question sur mes réseaux sociaux et j'ai appris qu'il y avait beaucoup de cas d'intimidation. Donc des parents qui font le choix ultime de garder leur enfant à la maison.»

«Emma Rose recevait des phrases telles que ''Tes vêtements ne sont pas beaux'', ''T'es pas bien habillé'', ''T'as l'air pauvre''. Que des choses comme ça arrivent à sept ans en première année. Je ne comprends pas.»

Abonnez-vous à l’infolettre du 98.5 Montréal!
En m’abonnant, j’accepte de recevoir des communications par courriel de Cogeco Média et de ses sociétés affiliées, y compris des nouvelles, des mises à jour, des activités et des concours. Vous pouvez vous désabonner en tout temps en utilisant le lien au bas de nos courriels ou en nous contactant par le biais de notre Politique en matière de protection des renseignements personnels. Veuillez noter, cependant, que nous pouvons continuer à vous envoyer des communications liées au service et d’autres communications non commerciales. Ce site est protégé par reCAPTCHA et la politique de confidentialité de Google et les les conditions d'utilisation s'appliquent.

Plus avec Nathalie Normandeau

Itinérance: «Il y a à peu près juste Québec qui prend ça relaxe présentement»
«Le PLQ est encore aujourd'hui perçu comme le parti des anglophones»
De plus en plus de pneumonies atypiques dans les hôpitaux pour enfants

Vous aimerez aussi

L’écoute en direct débutera à la suite de ce message publicitaire.
Musique
En direct
En ondes jusqu’à 07:00