En cette journée internationale du bonheur, le Québec serait la 6e nation la plus heureuse au monde! Or, ce qui risque de fâcher de nombreux Québécois, c'est d'apprendre que le gouvernement, concernant la rénovation du Stade olympique, a écarté une solution qui aurait coûté 10 fois mois cher que celle retenue aux coûts de 870 millions par Caroline Proulx, ministre du Tourisme.
Écoutez Vincent Brousseau-Pouliot, journaliste à La Presse qui signe un article ce matin sur le toit du Stade olympique en discuter au micro de Nathalie Normandeau.
«Alors ma question c'est pourquoi est-ce qu'on n'a pas réévalué en disant: "on a une solution qui coûte au moins dix fois moins cher?" Et le gouvernement n'a pas voulu donner d'explication là-dessus. Quand on regarde le document, la raison pourquoi, c'est que parmi les critères qu'on avait pour évaluer ce qu'on allait faire avec notre stade, le Parc olympique a dit qu'il fallait absolument que le stade soit ouvert douze mois par année.»