Des cliniques vétérinaires du Québec font la manchette alors qu'en plus de leur salaire de base, un pourcentage sur les services et les produits facturés aux clients est perçu par bien des vétérinaires.
Écoutez la collaboratrice Geneviève Pettersen aborder la question au micro de Luc Ferrandez alors que l'on se questionne sur le sens éthique de la problématique.
«Au Québec, il faut savoir que des petites cliniques vétérinaires indépendantes, il n'y en a plus tant que ça. La plupart des cliniques vétérinaires, en fait 40 à 45 % des cliniques sont possédées par des corporations étrangères, majoritairement deux grands groupes, dont un qui ceux qui font les barres de chocolat Mars. [...] Mais ce que ce que les vétérinaires craignent, c'est qu'ils vont finir par faire fermer les cliniques indépendantes, ces grands conglomérats-là et c'est aussi que les vétérinaires perdent le contrôle et n'aient plus les mains sur le volant de leur pratique.»
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