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Pour allouer le bon nombre de médecins

«Il faut connaître l'offre des régions locales de services» -Christian Dubé

«Il faut connaître l'offre des régions locales de services» -Christian Dubé
Le ministre de la Santé, Christian Dubé / Ryan Remiorz / La Presse Canadienne

Le ministre de la Santé exhorte les médecins de famille à prendre en charge 13 000 patients vulnérables atteints de maladies graves.

Il présente également jeudi, les grandes lignes du guichet d'accès à la première ligne, une nouvelle formule qui vise à accroître l'efficacité du système 24 h sur 24.

Le ministre de la Santé est donc micro de Paul Arcand jeudi matin pour discuter de ces dossiers importants. 
Il se penche d'abord sur les 13 000 patients atteints de maladie grave qui doivent toujours être pris en charge.

«Quand le médecin appelle au GAMF pour dire: "Je suis prêt à prendre des gens en charge", ils demandent d'avoir une proportion entre ceux qui sont vulnérables et les patients plus courants. Alors c'est pour ça qu'aujourd'hui, malgré le 900 000 patients qui ont été pris en charge, il en reste encore 13 000. Alors, c'est pour ça que je discute avec la Fédération pour dire comment on peut aller chercher les 13 000 qui restent le plus rapidement possible.»

Il explique aussi que pour traiter rapidement ces patients, il sera nécessaire de disposer globalement des informations de ce qui se déroule dans les GAMF au Québec.

«Nos gestionnaires ont besoin de bien connaître l’offre des régions locales de services, parce que c’est là qu’on alloue les médecins. Lorsque chaque année on dit: "Dans telle région, il nous manque des médecins". Moi, si je veux bien allouer les médecins, avoir des bons contrats avec les groupes de médecine familiale, s’assurer qu’ils suivent les heures d’ouverture, s’assurer qu’une prise en charge globale. Moi je veux pas savoir si le nom d’un médecin fait tel ou tel service ou telle heure. Je veux savoir si le GMF, le groupe de médecine familiale répond au contrat consigne avec eux, avec les frais qu’on leur paye pour qu’ils soient ouverts le soir, les fins de semaine, puis qu’ils prennent un certain nombre de rendez-vous pour lesquels ils sont rémunérés. Moi c’est de l’offre globale, je ne suis pas dans l’offre individuelle.»

Écoutez-le discuter également du guichet d'accès à la première ligne...

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