Écoutez la chronique de Jean-Luc Brassard, à l'émission de Luc Ferrandez, qui aborde la situation de la patineuse artistique, Kamila Valieva.
Rappelons qu’en 2022, lors des Jeux olympiques de Pékin, la jeune patineuse artistique de 15 ans, originaire de la Russie, a pu prendre part aux JO malgré qu'elle ait subi un test de dopage positif en décembre 2021.
Elle a donc pu participer aux Jeux, car elle avait moins de 16 ans lors du test. L'Agence mondiale antidopage estimait que cela lui causerait un tort irréparable de ne pas prendre part à la compétition, puisqu'elle était une personne à risque d'être manipulée par un État, un parent ou un entraîneur, selon le journaliste de La Presse, Alexandre Pratt.
«La dernière chose qu'on veut faire en ce moment-là, c'est de lancer une autre flèche à l'Institut olympique russe», souligne le chroniqueur.
«Ça n'a rien à voir avec les athlètes. Cela a plutôt rapport avec l'organisation et les entraîneurs. Ce que je vais amener comme point, encore une fois, c'est que tu sais, dans les histoires de dopage, on a exclu cette jeune fille qui fait encore les frais des foudres du monde entier en disant bon, elle était dopée pour une histoire assez rocambolesque de médicaments pour l'angine. Mais, il reste que, en général, les entraîneurs et l'entourage direct des athlètes qui sont pris pour dopage ne sont jamais pénalisés.»