Quoi faire pour aider les diabétiques sur le plan psychologique?
Découvrez les chroniques quotidiennes et les rencontres de Marie-Eve Tremblay alors qu'elle scrute l'actualité à la loupe en compagnie de Luc Ferrandez.
Elle mentionne l’article «La détresse diabétique ou le patient parfait», d’Ariane Labrèche de Radio-Canada, paru la semaine dernière.
La journaliste y présente Alexandra, une jeune femme qui a eu un diagnostic à l'âge de deux ans qui a bien géré son diabète jusqu'à l'âge de 14 ans. Mais, en faisant du sport, sa maladie est devenue difficile à contrôler.
Elle voulait vivre comme les autres, voulait vivre comme ses amis. Donc, elle s'est mise en cachette à manger des choses plus sucrées, puis elle augmentait ses doses d'insuline. Puis, elle arrivait à cacher à sa mère qu'elle ne respectait pas tout à fait le régime alimentaire auquel elle avait été par.
Sa mère soutient qu’un accompagnement psychologique et nécessaire pour ces patients, alors qu'elle affirme que sa fille s'est laissée mourir.
«”C'est ce moment ultime que j'attendais depuis si longtemps”. Ça, c'est le dernier texto qu'Alexandra a envoyé à sa meilleure amie avant de mourir à l'âge de 30 ans. C'était en 2019. Et sa mère, Josée, lance un cri du cœur. Elle dit qu'on doit mieux accompagner les personnes qui souffrent de diabète de type 1.»