The Guardian lance une nouvelle section qui se consacre à l’industrie du mieux-être (Well actually). Sommes-nous obsédés par le bien-être?
Écoutez Geneviève Pettersen parler avec Luc Ferrandez de cette tendance du mieux-être, mais surtout de l’industrie.
«La section nouvelle s'appelle Well Actually et ça donne le ton. C'est une espèce de questionnement en disant bien, le wellness, ce n'est peut-être pas si bon que ça. Donc, ce qui est original, c'est qu'on va enfin questionner cette industrie-là, puis challenger certains acquis. Moi, le phénomène du wellness, ça me fait beaucoup penser au phénomène du greenwashing dont on a déjà parlé, c'est-à-dire des entreprises qui ne sont pas nécessairement si cachées que ça, qui cachent leurs opérations ou qui se donnent bonne conscience en se faisant passer comme étant vertes, environnementales, l'achat de crédits carbone et tout ça. Puis, quand on gratte un peu, on se rend compte que ce n'est pas nécessairement le cas.»