Ces films, qui mettaient en valeur un certain érotisme, ont marqué MC Gilles.
«Moi, je programmais mon Beta. C'était mécanique, c'était Beta, J'étais Beta. OK, c'était bon, c'est ça. Et puis, c'était un accident. C'est-à-dire que je ne voulais pas vraiment enregistrer ça. Mais tu sais comment c'est? J'étais au mauvais poste, donc oui, c'était Bleu nuit. Ça a duré de 1986 à 2007...»
Au menu de cette chronique: analyse des thèmes et des intrigues... qui n'ont rien à voir avec la pornographie d'aujourd'hui!