Aller au contenu

Réfugiés à Gaza: «Il n'y a nulle part où aller»

Réfugiés à Gaza: «Il n'y a nulle part où aller»
Paul Arcand / Cogeco Média

Consternation entourant un bombardement de l’armée israélienne dans le camp de réfugiés palestinien de Jabaliya qui aurait fait au moins 50 morts.


Écoutez Bushra Khalidi, responsable du plaidoyer pour Oxfam en Territoire palestinien, au micro de l’animateur Paul Arcand qui se trouve à Ramallah, dans les territoires palestiniens occupés.


L’armée israélienne a confirmé avoir bombardé un camp de réfugiés dans le nord de Gaza. Les dommages sont considérables. On parle au moins d'une cinquantaine de personnes tuées dans ce camp, vivent plus de 100 000 personnes.

De plus, les premiers étrangers, les premiers blessés palestiniens ont pu quitter la bande de Gaza, passer par Rafah et ultimement se rendre en Égypte.

«81 personnes blessées ont pu entrer par la frontière. Des Palestiniens étrangers avec des passeports étrangers qui ont pu sortir. C’est un beau geste. Mais bien sûr, ce n'est pas assez parce qu'on parle de 20 000 blessés qui ne peuvent même pas être évacués, dont la moitié sont des enfants. Et puis l'aide est encore au compte-goutte et ce n’est pas assez pour subvenir aux besoins de 2,2 millions de personnes punies collectivement dans une enclave où vraiment, il n'y a nulle part où aller.»

Abonnez-vous à l’infolettre du 98.5 Montréal!Abonnez-vous à l’infolettre du 98.5 Montréal!
En m’abonnant, j’accepte de recevoir des communications par courriel de Cogeco Média et de ses sociétés affiliées, y compris des nouvelles, des mises à jour, des activités et des concours. Vous pouvez vous désabonner en tout temps en utilisant le lien au bas de nos courriels ou en nous contactant par le biais de notre Politique en matière de protection des renseignements personnels. Veuillez noter, cependant, que nous pouvons continuer à vous envoyer des communications liées au service et d’autres communications non commerciales. Ce site est protégé par reCAPTCHA et la politique de confidentialité de Google et les les conditions d'utilisation s'appliquent.

Plus avec Paul Arcand

«Derrière les faits divers, ce sont pour moi des faits de société»
«Il faut avoir la capacité de s'indigner»- Paul Arcand
Le mot de la fin de Paul Arcand: «Je vais continuer de m'indigner...»

Vous aimerez aussi

L’écoute en direct débutera à la suite de ce message publicitaire.
Les amateurs de sports
En direct
En ondes jusqu’à 00:00