La chroniqueuse Geneviève Pettersen aborde le fameux palmarès des écoles du Québec proposé par l’institut Fraser et relayé par Le Journal de Montréal.
En raison des divers événements traités (dont des cas de violence) par les médias à propos de l’école publique, les parents sont parfois incités à inscrire leur enfant dans un établissement scolaire privé.
Bémols à propos du palmarès: les élèves de l’école privée sont triés à l’entrée, c'est alors plus facile d’avoir de bonnes moyennes. Par ailleurs, on compare deux systèmes complètement différents et ce n’est pas juste, de l’avis de la chroniqueuse.
Les frais de base dans une école privée se situent en moyenne entre 2500 $ et 5000 $. En plus, l'école bénéficie de subventions gouvernementales, ce qui est le cas de plus de 65 % des 350 établissements privés de niveau primaire et secondaire de la province.
Évidemment, bien d’autres frais sont associés à l’école privée : matériel informatique, sorties, sport, uniformes, etc.
Au micro de Luc Ferrandez, vendredi, Geneviève Pettersen se dit tannée de l’école à deux vitesses… En considérant les montants impliqués, c'est faut de croire que c'est «un choix» d'inscrire un enfant au privé, affirme-t-elle.
Pourquoi subventionner les écoles privées au lieu de mettre notre argent dans le système public?
Elle aborde aussi la pression ressentie chez les parents à propos de l’école privée.
Écoutez l'intégralité de la chronique, à l'émission Sans réserve.