Des Québécois, qui sont littéralement privés d’Ozempic en raison de la pénurie ou des coûts trop élevés, vivent difficilement l’arrêt du traitement.
Ce sujet a été abordé par le journaliste Hugo Duchaine dans un article publié par Le Journal de Montréal.
À cause de la grande popularité du médicament dans le monde, la compagnie qui le produit (Novo Nordisk) a fait grimper le PIB du Danemark!
Des gens ont dû cesser la prise du médicament, car leur assurance collective ne défraye plus les coûts qui y sont associés.
L'Ozempic coûte jusqu'à 500 dollars par mois selon la dose prescrite.
Il y a aussi des pénuries de certaines doses, notamment celle de 1 milligramme.
«Et là, cette pénurie laisse des gens dans un état de détresse considérable. Ça va mal!»
À l’origine, ce médicament a été conçu pour traiter le diabète de type 2, mais il peut aussi être utilisé pour ses effets amaigrissants, puisqu’il coupe la faim.
Devrait-on couvrir l'Ozempic pour les personnes qui ont un surpoids qui est dommageable pour leur santé?