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L’actualité décortiquée par Geneviève Pettersen

La saga Ozempic se poursuit au Québec

La saga Ozempic se poursuit au Québec
La chroniqueuse Geneviève Pettersen / Cogeco Média

Des Québécois, qui sont littéralement privés d’Ozempic en raison de la pénurie ou des coûts trop élevés, vivent difficilement l’arrêt du traitement.

Ce sujet a été abordé par le journaliste Hugo Duchaine dans un article publié par Le Journal de Montréal.

À cause de la grande popularité du médicament dans le monde, la compagnie qui le produit (Novo Nordisk) a fait grimper le PIB du Danemark!

Des gens ont dû cesser la prise du médicament, car leur assurance collective ne défraye plus les coûts qui y sont associés.

L'Ozempic coûte jusqu'à 500 dollars par mois selon la dose prescrite. 

Il y a aussi des pénuries de certaines doses, notamment celle de 1 milligramme.

«Et là, cette pénurie laisse des gens dans un état de détresse considérable. Ça va mal!»  

À l’origine, ce médicament a été conçu pour traiter le diabète de type 2, mais il peut aussi être utilisé pour ses effets amaigrissants, puisqu’il coupe la faim.

Devrait-on couvrir l'Ozempic pour les personnes qui ont un surpoids qui est dommageable pour leur santé?

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