Aller au contenu
De la négligence dans 50% des cas

«Les besoins de base de l’enfant ne sont pas rencontrés» -Katia Gagnon

«Les besoins de base de l’enfant ne sont pas rencontrés» -Katia Gagnon
De jeunes enfants / Moment / Getty Images

Selon une étude menée par des chercheurs canadiens et américains, un enfant sur cinq sera signalé à la DPJ au Québec.

Basée sur les données des 17 dernières années, l’étude confirme qu’un enfant sur dix sera pris en charge par les services sociaux.

La journaliste de La Presse, Katia Gagnon, explique que s'il y avait de la prévention, surtout en milieu défavorisé, le nombre de cas de la DPJ serait moins important.

«Il y a 50% des cas où c'est de la négligence. Donc, ce sont des parents qui pour toutes sortes de raisons ou un ensemble de raisons, ne sont pas capables de bien s'occuper de leur enfant à tel point que les besoins de base de l’enfant ne sont pas rencontrés. Ce sont ces cas-là qui pourraient aller ailleurs s'ils étaient pris en charge plus tôt, si on avait plus de services de prévention, de dépistage. [...] Il faut une première ligne efficace. C'est comme si on n’est jamais capables de faire ça au Québec, on n'est jamais capables de concrétiser ça, donc ça continue.»

Abonnez-vous à l’infolettre du 98.5 Montréal!Abonnez-vous à l’infolettre du 98.5 Montréal!
En m’abonnant, j’accepte de recevoir des communications par courriel de Cogeco Média et de ses sociétés affiliées, y compris des nouvelles, des mises à jour, des activités et des concours. Vous pouvez vous désabonner en tout temps en utilisant le lien au bas de nos courriels ou en nous contactant par le biais de notre Politique en matière de protection des renseignements personnels. Veuillez noter, cependant, que nous pouvons continuer à vous envoyer des communications liées au service et d’autres communications non commerciales. Ce site est protégé par reCAPTCHA et la politique de confidentialité de Google et les les conditions d'utilisation s'appliquent.

Plus avec Paul Arcand

«Il faut avoir la capacité de s'indigner»- Paul Arcand
«Derrière les faits divers, ce sont pour moi des faits de société»
Le mot de la fin de Paul Arcand: «Je vais continuer de m'indigner...»

Vous aimerez aussi

L’écoute en direct débutera à la suite de ce message publicitaire.
Les amateurs de sports
En direct
En ondes jusqu’à 00:00