Est-ce que la chimie d’un club peut être affectée quand une organisation offre ses coffres à un jeune joueur?
L’animateur Mario Langlois a posé la question à Antoine Roussel dans la foulée du contrat de huit ans d’une valeur de 64 millions $ offert à Jake Sanderson par les Sénateurs d’Ottawa.
Roussel a lui-même signé deux contrats de quatre ans durant sa carrière.
«Quatre ans, c'est raisonnable. Tu as encore faim. Tu te bats toujours pour ton prochain contrat. Huit ans, c'est une éternité. Si j’étais une organisation, j’essaierais de limiter les contrats de huit ans au minimum», note Roussell qui souligne néanmoins qu'il n'a pas trop de problème quand le contrat est mérité.
Et pour ce qui est des Sénateurs eux-mêmes?
«On va savoir vraiment le caractère de cette équipe en début de saison. L’an passé, on leur prédisait presque tous une place en séries. Joonas Korpisalo, devant le filet, ça va les stabiliser. Je m’attends à ce qu’ils aient une grosse saison et qu’ils fassent les séries éliminatoires.
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On écoute Antoine Roussel...
